FEAT.: Luke Pasqualino © First-Love

NOM : Pearson PRÉNOM(S) : Freddie Jordan ÂGE : 18 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 13 juillet 1992 à New York City GROUPE : Beta

Séducteur grâce à ses origines, mais aussi rebelle. Il a le don de bien cacher son jeu. A première vue, on pourrait croire qu'il est un Ange, et qu'il ne sait que séduire, mais il renferme au fond de lui de multiples facettes. Malgré qu'il est l'air séducteur, il n'a pas pour autant tout le temps envie de faire son Don Juan (Fidèle en amour, il sait aussi respecter les femmes. ) Il y a des moments où ça l'agace de courir après les filles, et où il a envie d'être seul avec son skate. Le skate , une passion depuis longtemps, ce qui lui permet de s'aérer et de passer ses nerfs dedans quand il ne va pas bien. Et oui, derrière cette carapace se renferme un homme sensible du fait qu'il ait beaucoup souffert dans son passé. C'est de là que vient son coté rebelle, il peut blesser sans le vouloir, et il se montre dur. Mais il a gardé au fond de lui, des petits points qui viennent de son enfance : taquineur, souriant, qui aime rire et qui est protecteur. Ses amis comptent beaucoup pour lui, et au contraire, ses ennemis ne doivent pas trainer dans le coin s'ils ne veulent pas finir en pâté pour chien. Il sait se défendre, et n'hésite pas à le montrer. Il y a aussi un petit truc, il aime bien se faire montrer, et il lui est déjà arriver de répondre en classe et de partir comme ça, sans plus de raison quand on l'agace.

S'il y a une fille qui ne peut pas être séduite par son physique italien, il faut qu'elle s'approche de lui et qu'elle plonge ses yeux dans les siens, marrons et mystérieux, qu'elle baisse ensuite légèrement sa tête sur ses lèvres qui crient presque de les embrasser, et qu'elle pose ses main sur son torse musclé, et ressentir la chaleur de l'Italie grâce à la couleur de sa peau bronzée et ses cheveux bruns qui se baladent sur son front. Freddie est grand, et il a tout pour plaire !
Bon, laissons l'Italie de coté, et venons aussi à ses origines Américaines, car oui il est aussi américain au fond, mais, ceci se voit plus dans son style vestimentaire : tenues décontractées, vieux jeans, un peu tombants, ou autres pantalons où il est facilement à son aise, tee-shirts simples, et toujours une veste à capuche avec lui, mais sa préférée est une grise . Et il a toujours des baskettes, mais il ne fait pas ses lacets, car il préfère les rentrer dans ses chaussures, ça évite de les refaire et de perdre son temps. Parfois il lui arrive de mettre un chapeau sur ça tête, ce qui lui permet de faire plus "séducteur", enfin, c'est ce qu'il croit.





Il était une fois... Bon, ça fait trop cliché ! Disons qu'un beau jour d'été ensoleillé, Monsieur et Madame Pearson était en train de déballer des cartons : ils venaient juste d'acheter un restaurant dans le quartier "Little Italie" de New York. Monsieur Pearson, un américain, avait rencontré sa femme en Italie lors d'une visite. Il fut vite séduite par sa jolie voix mélodique même s'il ne comprenait pas grand chose de l'Italien. Elle s'était aussi éprise de lui, et décida de quitter l'Italie avec lui, et ils se marièrent. Elle ne parlait pas encore très bien l'anglais, et quelques jurons italiens sortaient de sa bouche en déballant les cartons quand elle ne tombait pas sur celui qu'elle voulait, ou que des verres étaient fêlés. Son mari rigolait, et il se disait aussi que sa grossesse ne devait pas arranger son caractère. Mais un moment, elle poussa un cri, et cette fois-ci, il ne rigola pas, et fut plutôt affolé ! Le bébé, il allait arriver ! Il s'agitait dans tous les sens et ils montèrent dans la voiture. Mais ce n'était pas une petite ville, et bien sur, il y avait des embouteillages, et la chaleur de l'été n'arrangeait pas les choses. Il essayait de rassurer sa femme, mais il était surement plus stressé qu'elle ! Par chance, ils arrivèrent à temps à l'hôpital. Sa femme criait encore plus quand les sages femmes lui disaient de pousser, pendant que le mari ne pouvait pas tenir au même endroit pendant plus d'une seconde. Mais le résultat fut plus que satisfaisant: un beau bébé venait de naître, et les deux parents étaient plus que fiers.
Il grandit avec amour, et le restaurant commençait à être apprécié des clients. Trois ans après la naissance de Freddie, ce fut le tour de sa petite sœur de voir le jour. Ils n'avaient rien de plus à demander à dieu pour être heureux. Leur éducation était réussie, ils s'étaient parfaitement intégrés dans la société, et ils vivaient leur rêve américain. Mais un jour, tout bascula. Une voiture qui roulait trop vite, ce conducteur soul, et la madame Pearson qui avait traversé la route en face du restaurant au mauvais moment. Le choc fut fatal, elle mourut sur le coup, et sous le regard de sa famille dans le restaurant. Freddie n'avait que 13 ans à ce moment, et il dut alors changer ses habitudes de vie, et aider son père au restaurant tout en continuant de suivre ses cours. Il trouvait que sa sœur était pourrie gâtée. "Pauvre petite, elle a perdue sa mère", tout le monde la consolait, mais tout le monde oubliait Freddie. Alors il commença à partir sans prévenir, à faire du skate pour se détendre, et oublier sa peine, et à sortir avec ses amis. Au fil du temps, il commença aussi à toucher à l'alcool et à la drogue, et à moins bien travailler à l'école. C'était sa façon de montrer qu'il existait aussi sur terre. Il avait ce sentiment étrange quand il revenait chez lui et que son père lui criait dessus pour des raisons quelconques: ses notes, parce qu'il sentait l'alcool, ou qu'il revenait chez lui à 3 heures du matin. Il avait enfin l'attention de son père, mais leur relations n'étaient plus les mêmes qu'avant. Malgré ses notes, il fut quand même accepté dans une université à Dallas. C'était pour lui l'occasion de débuter une nouvelle vie.

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